Me revoila dans mon milieu naturel : la haute Provence.
Enfin de l'espace, du rien, des cailloux, on peut lever la tête et respirer.
Guetter tout là-haut, le long des crêtes, le vol d'un aigle (si l'on est très attentif), se nourrir du souffle qui dévale les pentes, et arrivé sur le sommet faire le tour du paysage d'un seul élan.

En descendant du Chiran

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